Thursday, January 31, 2013

Night time visitor

"Mom?" Little B asked. "Is Daddy's alarm going to ring tonight?" (Daddy gets up at 2 in the morning) "Yes, honey, it is." B sighs. "I wanted to sleep in your bed tonight..."

Wednesday, January 30, 2013

Une mise à jour... énorme

Simone regardait l'écran de son ordinateur avec appréhension. Le système devait faire une mise à jour. Il ne manquait plus que la signature électronique de Simone. Bon, normalement, c'est pas la fin du monde, les mises à jour. Sauf que pour Simone, c'est trop souvent la fin de ses données les plus récentes. Elle soupira et acquiesça avec un "oui" électronique pas très motivé... Quelques minutes plus tard, la mise à jour était terminée et... pas question d'allumer l'ordinateur. Et oui. Même pas capable de l'allumer maintenant. Belle mise à jour, Apple. Il ne reste qu'à espérer que les génies du magasin Apple seront assez doués pour résoudre ce petit problème...

Tuesday, January 29, 2013

Say what?

"Would you like something to drink with your dinner?" Simone asked B. "Yes! I'd like some mela juice, please." Simone considered this for a moment. Mela? B smiled, pleased by his mother's confusion. "I'm speaking Italian," he explained. Ah. Si.
Mela.

Monday, January 28, 2013

Un p'tit pschit

"Ça suffit!" S'exclama Simone pour la énième fois. "Chut!" Mais les chiens n'arrêtaient pas d'aboyer. Puis Simone aperçut le pulvérisateur avec lequel elle avait appris aux chiens de ne pas monter à l'étage. Enfin, elle avait appris à un des deux chiens de ne pas monter à l'étage. Elle avait appris au deuxième chien de ne pas se faire prendre. Un p'tit pschit et les chiens la regardaient perplexes. Genre "Pourquoi tu nous fais ça?" Comme ils avaient arrêté d'aboyer, Simone en profita pour leur offrir une friandise-chien. "Bravo! Vous avez bien arrêté d'aboyer!" Les chiens avaient toujours l'air perplexe mais c'était à présent un air perplexe heureux. Heureux confus. Bon, on recommencera plus tard. En attendant, ils ont arrêté d'aboyer. C'est déjà ça.

Friday, January 25, 2013

Friends, horses and chocolate

Hubby asked what Simone would like for her anniversary and she told him it might be fun if they went to a fancy dinner with some friends. Wish granted but first, hubby had some surprises in stock: he'd bought some (near the) front row tickets to Cavalia, the horse show spectaculaire. The athletic prouesse of the riders and performers took Simone's breath away and the scene changes were nothing short of amazing. Hubby took a particular liking to the music and enjoyed watching the musicians perform live in a glassed-in alcove over and to the side of the stage. And while the heat that day reached close to unbearable outside, it felt cool under the big top. Following the show, they toured the stables, chatted with the help and even posed close to some of the horses that took part in the show. Ensuite? Dinner! The party of four went to Ruby Watchco in downtown Toronto and feasted on a splendid meal, liberally arrosé with several libations. The only sad note? No chocolate dessert on the menu that night. No problem, said Simone's hubby. And he drove them to the Distillery district where they gleefully approached Soma, the chocolate factory. Unfortunately, that Soma location did not open on weekends. Simone stood at the doorway, inhaling the heady scent of chocolate that wafted through the crack between the locked doors. They all headed back into the car and hubby, the miracle worker, consulted the internet on his phone before driving to another Soma location. They rushed out of the car - the store was scheduled to close its doors in mere minutes. Aaaah! They made it! The ride north felt quieter. Much quieter. Likely the combination of alcohol and chocolate had a lot to do with it: Simone fell asleep five minutes into the ride and didn't wake up until the car pulled off the highway a few moments away from home...

Thursday, January 24, 2013

On saute?

Tôt un samedi d'été, le mari de Simone embarqua Simone, la fille de 18 ans et B. Ils conduisirent environ une demi heure pour s'arrêter devant un hangar au beau milieu de la campagne. "On fait quoi, là?" Voulu savoir Simone. "Moi, je surveille B. Vous deux, les filles, vous sautez d'un avion. En plein air. Du parachutisme, quoi." "Tu ne vas pas sauter avec nous?" La fille de 18 ans faisait la moue. Simone, elle, restait bouche bée. Elle avait toujours rêvé de sauter en parachute mais de là à le faire comme ça, pour de vrai, il y avait des kilomètres à faire! Enfin. Ne pensons pas trop aux kilomètres à faire. Mais bon, elle n'allait pas passer pour une mauviette. Elle écouta le court-métrage qui expliquait que le parachutisme était un sport hyper dangereux qui risquait fort d'amener une fin néfaste à tout ceux qui le pratiquait. Pas domptée, elle enfila le costume rouge vif qui allait la protéger des éléments (mais pas du sol si le parachute ne fonctionnait pas). Elle fit tous les exercices qu'on lui demanda de faire. Puis, la dernière, elle suivit le groupe dans l'avion. Pas rassurant, cet avion. Il n'y avait aucun siège et une quinzaine de personnes s'entassèrent tout de même, sans ceintures. Sans rien, sauf leurs parachutes. Il faudrait peut-être préciser ici que Simone sautait en tandem. Pour sa première fois, elle n'avait aucune envie de se fracasser contre le sol à cause de son inaptitude. Lorsque l'avion démarra, la porte de l'avion était encore ouverte. Ce ne fut que lorsque celui-ci s'envola que le vidéographe la ferma. Une porte vitrée. Et ce fut à cet instant que Simone se rendit compte que vu sa place dans l'avion, elle serait la première à sauter. Tant mieux. Moins de temps pour agoniser. Arrivés assez haut et assez loin, le vidéographe ouvrit la porte. Il fit un petit salut à Simone qui commençait à se sentir mal. Bouclée et ceinturée avec l'instructeur, Simone et lui s'approchèrent de la porte. Un, deux, trois, on n'y pense pas. On saute. Eh! Oh! On respire comment, au fait? Simone n'y arrive pas du tout. La bouche grande ouverte. La bouche serrée fermée. Rien à faire.
Et le vidéographe qui veut un sourire. Ouais bon, un sourire. Allons-y. Mais la respirations, ça serait bien, tout de même. Quoi? Il faut déployer le parachute? Incapable de respirer, Simone a du mal à trouver la ficelle. Heureusement, l'instructeur, lui, est plus doué. Soudainement, tout passe au ralenti et Simone flotte. Que c'est beau! Incroyablement, super, wouah beau! Et, trop tôt, il faut atterrir. B accoure. "Maman, tu as volé!" C'est vrai - et le plus drôle, c'est que Simone a envie de recommencer. Là. Tout de suite.

Wednesday, January 23, 2013

Thweet

B told Simone about his latest friend. In conclusion, very proudly, he said, "And he's theven." "Seven," Simone corrected. "Theven," said B, somewhat testily. "SSSSSSeven," Simone insisted. "That's what I said," B threw his hands up. "THHHHHHHEVEN!"

Tuesday, January 22, 2013

Fini, l'Italie...

Et oui... Dix jours c'était super bien mais, comme tous les voyages, celui-ci se termina éventuellement. Les valises furent faites. Le ménage de l'appartement fut effectué. Tout notre petit monde s'entassa dans leurs voitures et puis on se dirigea vers l'aéroport. Et comme partout ailleurs en Italie, il n'y avait aucune méthode d'organisation. Une femme en uniforme se promenait devant les lignes d'attente et disait aux voyageurs que leurs petites valises étaient trop grandes et qu'ils ne pourraient pas les apporter dans l'avion. Oui. Il y avait DES lignes d'attente - et on ne savait pas trop bien si oui ou non on attendait dans la bonne. De plus, même lorsque les gens montraient à cette femme en uniforme que oui, leur valise était conforme, celle-ci rouspétait et leur disait qu'il faudrait payer un supplément. Mais bon, passons directement aux billets qui, réservés d'avance, devaient être l'un à côté de l'autre. Et bien non. Air Transat avait changé toutes les places des passagers et un des enfants se retrouvaient aux fin fonds de l'avion alors qu'un autre était assis pas trop loin mais seul (Air Transat refusa d'admettre avoir fait une erreur, en passant - et Simone avait payé un supplément pour ces places. Ça valait bien la peine!). Et pour couronner le tout, lorsque les passagers furent appelés à se rassembler avant d'aborder l'avion... il n'y avait PAS de file d'attente. C'était l'enfer. Malgré tout, Simone et B furent parmi les premiers à bord. Là ce fut la bagarre pour les sièges. Super. Car tout le monde voulait être ensemble et tout le monde voulait un hublot. Autant dire que tout le monde était de mauvaise humeur. Voilà ce qui arrive lorsqu'on ne prend pas sa dose hebdomadaire de gelato! Ciao, Italia!

Monday, January 21, 2013

Shop, eat, crash

The last afternoon in Rome... Of course, some shopping had to be woven into the agenda so the group took a series of cabs to one of the numerous shopping districts, this one near the Spanish Steps. Simone's heart wasn't in it but she made a half-hearted attempt, cheering up when she spotted a gelato shop that boasted oodles of flavours. True, she wasn't hungry but it was her last day in Rome and by darn it, she was going to have some gelato for the road. A tired, hot group met up an hour or so later and wearily filed back into taxis. Nobody much felt like cooking, least of all the group's chef extraordinaire, Simone's hubby. Luckily, an Indian restaurant, nestled at the foot of the apartment building in which their apartment resided, promised a quick easy meal. On the terrace if they so wished it. Given that there was no air conditioning in the restaurant, yes, the terrace would be sensational. They ate some very nice Indian food then trailed back upstairs. "What?" The older teens demanded. "You guys aren't going to bed already, are you?" "As a matter of fact," Simone replied primly, "we are. We're exhausted." "Um, could we have the key?" Yup. And be quiet, k? Snore.

Friday, January 18, 2013

Le Vatican

La journée au Vatican s'augurait mal. Le garçon de 16 ans ne voulait pas sortir du lit et son papa ne voulait pas le laisser seul à Rome toute la journée. De plus, pas moyen de fourrer toute la famille dans un seul taxi et il n'y en avait pas deux qui passaient en même temps. Du coup, Simone avec les billets d'entrée pour la chapelle Sixtine et juste assez d'argent pour payer le taxi car son mari avait payé d'avance avant de retourner dans l'appartement dès qu'il s'était rendu compte que le gars de 16 ans n'était pas avec eux. Ouf. Simone tenta tant bien que mal d'expliquer où elle voulait aller dans un italien plutôt terrible. Le conducteur n'avait pas l'air de comprendre très bien mais il répétait Vatican (ou quelque chose de semblable). Simone décida de lui montrer ses billets et là le conducteur dévia de chemin car, il expliqua, la chapelle Sixtine, c'est une autre porte d'entrée. Ah. Mince alors. C'est que le monsieur là-bas, avec les trois jeunes, il ne va pas savoir, lui. Et c'est précisément ce qui se passa. Le monsieur alla à la mauvaise porte. De l'autre côté du Vatican. Et il maugréa pendant une bonne heure parce que sa femme n'était pas là. Sa femme savait qu'elle était au bon endroit et ne changea pas de place. Surtout que (a) elle n'avait pas un sou, (b) elle n'avait aucune carte de crédit et (c) elle était accompagné du petit B et à 5 ans, il n'apprécierait pas le fait de faire le tour d'une ville, si petite soit-elle, DEUX fois (à l'aller et au retour). Donc elle attendit. Elle vérifia la longue ligne d'attente sans trop espérer. Et elle se dit, à raison, que son mari avait sans doute trouvé sa soeur, son père, etc (car ils s'étaient donné rendez-vous) ce qui l'avait convaincu que c'était lui qui avait raison et qu'il était au bon endroit. Simone, pour sa part, était inquiète. Les billets qu'elle avait acheté sur internet avait une heure précise de notée - et là, elle accusait un retard de presque deux heures. Elle avait apporté un repas pour B qui l'avala tout rond mais pour les autres, il n'y avait rien du tout. Tout fut bien qui finit bien: le beau-père de Simone parle italien et il pensa à poser la BONNE question. Ce ne fut qu'à cet instant qu'ils se rendirent compte qu'ils étaient aux mauvais endroit au Vatican. Finalement, ils se déplacèrent et, sans trop de difficultés, les retrouvailles entre les deux groupes eurent lieu. Hourra! Sauf qu'à passé midi, il y avait des milliers de gens qui défilaient dans la chapelle Sixtine mais ça, c'est une autre histoire.

Thursday, January 17, 2013

So, what else haven't we seen yet?

Simone had mapped it out precisely but... maps and streets as experienced live consist of two very different things. Still, having taken a taxi that dropped them off close to the Trevi fountain, Simone felt fairly confident that she could find it unaided. First, however, another stop for gelato. When in Rome, eat gelato - because back home? There's only the grocery bought variety and it tastes nothing like the Italian ice cream. Feeling nicely sweetened up, the group battled the throngs of other tourists and headed toward the fountain. Simone stopped, fascinated by the artwork of a sidewalk artist. Another member of their group was equally enthralled and she purchased two paintings for herself. "Did you want one too?" She asked Simone. Simone, who currently did not have any cash, nodded. "But keep it - and save it for Christmas?" The deal thus sealed, they made their way, in the midday heat, to the fountain. B loved it! He threw a coin, made a wish and then they were on their way to the Pantheon, passing breathtaking architectural delights as they walked on uneven cobblestone sidewalks and roadways. The Pantheon, with its canned recordings of "Keep it quiet, please," in umpteen languages, failed to impress B who, by that time, was begging to go home. Simone took a picture of a group of nuns inside the Pantheon then she too called it a day. Hubby had long ago given up pretending he was enjoying himself. So they hailed a cab, went to a grocery store where they picked up snacks for dinner then headed back to their holiday rental. Ooooh.... Relaxation time! Except that several of the kids decided that since they were in Rome, they should really party in Rome. Really? (Thank goodness they're old enough to do THAT on their own!)

Wednesday, January 16, 2013

C'est qu'il y a du monde ici!

L'entrée payée d'avance en valait bien la peine: le groupe de Simone fut en mesure de dépasser des foules de gens qui attendaient pour payer leurs billets. Mais une fois à l'intérieur, le spectacle n'avait pas changé. Il y avait plein, plein de monde. Et il faisait une chaleur épouvantable. Au moins, il n'y avait pas de cirque, de véritable gladiateurs ni de lion affamé en quête d'un esclave croustillant. Et oui, Simone se trouvait au Colisée et, comme tous les autres touristes, son premier but fut de se trouver un brin d'ombre. Mission accomplie. Il fallait maintenant un émissaire pour aller acheter des écouteurs afin de poursuivre la visite guidée du site. Simone se porta volontaire. Puis, une fois de retour avec les écouteurs en main, sous un soleil brutal malgré l'heure matinale, ils firent la visite de cette ruine romaine imposante. Si vous en avez l'occasion, allez-y. Nous qui croyons avoir tout inventé, nous ne faisons que copier.

Tuesday, January 15, 2013

Public transportation? No thank-you!

Bright and early in the morning, Simone, hubby and their children marched down the stairs of their rented Rome apartment and hiked over to the nearest restaurant serving breakfast. They filled up on food and drinks then inquired on the closest bus route heading toward the Coliseum. They purchased tickets then lined up next to the bus stop, somewhat uncomfortable in the burgeoning heat. The bus, when it arrived, was packed solid with people. Still, the group gamely pushed their way in where all females in the group were promptly fondled by Italian pigs (men but, yeah: pigs). Elbows, shuffles, angles followed until a suitable distance was created between the pigs and the girls. Meanwhile, after another stop where people climbed off and on the bus, a woman started sobbing loudly: her purse had been stolen with all her ID and money. When at last their bus pulled up in front of the Coliseum, Simone and family gratefully climbed off. "We're taking taxis back, right?" Simone asked hubby. "Oh yeah," he agreed emphatically. "We're definitely taking taxis."

Monday, January 14, 2013

On se promène?

À peine installés dans leur appartement de location que déjà les enfants grouillaient d'impatience. "On est à Rome!" S'exclama une. "Gelato!" S'écria l'autre. "Shopping!" Un troisième ajouta. Bon. D'accord. Compris. Tout le monde s'aventura dehors où, comme tous les jours depuis leur arrivée, il faisait un soleil à tout casser. Ils s'arrêtèrent pour admirer quelques fringues puis... "Est-ce que tout le monde à faim?" Demanda Simone. Cette fois-ci, ce fut unanime. "OUI!" Ce n'est pas toujours évident de tomber d'accord sur où manger, surtout avec une dizaine de personnes, dont un de 6 ans mais on finit pas choisir un restaurant japonais et tout le monde se régala. Seul hic à l'horizon, la belle-soeur et son groupe sans voiture qui se promenaient dans le quartier voulaient savoir où Simone était (par texto). Ils finirent par trouver Simone alors que les enfants finissaient leur repas. Autant dire que la belle-soeur n'était pas tout à fait heureuse... Leur groupe n'avait ni bu ni mangé et celui de Simone s'apprêtait à partir en quête de
gelato...

Friday, January 11, 2013

Roma!

Packed into their vehicles, Simone, family and luggage travelled down the highway to Rome. The trip took close to three hours and included some serious circling, brought on by a GPS with a wicked sense of humour. Or perhaps the GPS was deficient. Regardless of the reason, the cavalcade of vehicles got a grand tour of Rome out of the deal. Simone, hubby and their kids miraculously found parking spots a few feet away from the apartment they had rented. Free parking - how cool is that? They decided not to tempt fate and to use a form of public transportation while they were in town, so as not to lose the parking spots. Simone's sister in law went a step further: she returned her rental car at the airport then cabbed it back to the apartment she had rented. Everyone oohed and ahed over their apartment. The overwhelmingly welcome feature? Air conditioning and fully functioning wifi. Yay! Okay. So now that we're settled in, can we go for gelato?

Thursday, January 10, 2013

On déménage

Même suite à un séjour assez court de 6 jours, les objets s'accumulent. Même avec accès à une machine à laver, les vêtements sales s'accumulent. Et malheureusement, lorsque la location de leur villa près de Sorrento prit fin, il fallut tout emballer et aller vers Rome. Bon, d'accord, tout ce petit monde s'emballait à l'idée de visiter Rome mais, pour ce, il faudrait quitter vue sur la mer, piscine, oliviers et citronniers... Mais l'aventure, c'est l'aventure donc tout le monde boucla leurs valises et on s'enfonça dans les voitures. Au revoir, poissonnier et boucher! Au revoir grand jardin sur la côte! Au revoir la belle villa!

Wednesday, January 9, 2013

Driving dangerously

The last day prior to leaving the Amalfi Coast for Rome, Simone et al decided to drive the tortuous road between Sorrento and Positano. What a harrowing drive! And yet, Simone's hubby, driving their trusty bus-sized vehicle, managed it with flair. The breathtaking vistas had Simone leaning precipitously out of her passenger window to take pictures. Simone's hubby, ever thoughtful, pulled over on a curb just short of their destination. Wow! Just wow! From their vantage point on the cliff, they could see the Mediterranean sea as it lapped at the shores of a city nestled in a hilly cove. Simply breathtaking, especially given the light blue sky, the azure waters dotted with sailboats and fishing dinghies, the green of the rock-fastening vegetation on the hillsides... They continued on to Positano where the narrow, winding, downhill all the way road that led to the beach had Simone wondering how on earth drivers managed it. They nonetheless reached the beach, a black pebbled affair that scorched bare feet in the blazing sun. Given the crowds and, more importantly, the number of beautiful shops that preceded their arrival at the beach, only B seemed interested in going swimming. So Simone gleefully joined him in the soupy, questionable water (given the crowds and
the extreme proximity of all manners of boats) before drying off and going for gelato. Positano, your beauty stunned us all and will stay in our hearts forever.

Tuesday, January 8, 2013

Pompéi

Finalement, Simone allait réaliser un de ses rêves: de visiter l'ancienne ville de Pompéi, enterrée sous de la poussière volcanique et oubliée pendant des siècles. Aujourd'hui, l'ancienne ville de Pompéi partage la frontière de la nouvelle ville de Pompéi. De la nouvelle ou de l'ancienne, on peut toujours voir le volcan Vesuvius, figure lointaine et pourtant meurtrière. Des rues entières, des immeubles, des frasques et les empreintes des morts ont été déterrés où l'on pourrait aisément passer des heures, voir des jours entiers à explorer. Munis de bouteilles d'eau, vu la chaleur infernale qui régnait le jour de leur visite, la famille de Simone se procura un guide qui ne se lassait pas de relater d'innombrables détails sordides au sujet de Pompéi et de ses défunts. Malgré la foule qui visitait, un silence presque révérenciel pesait lourd dans le coeur de toutes et tous. Nous faisons les mêmes erreurs que nos ancêtres. Nous bâtissons nos maisons aux abords de la mer. Nous construisons des villes par-dessus d'autres qui elles ont été détruites par des phénomènes naturels. Nous détruisons la nature qui nous entoure pour imposer notre vision d'un ordre qui n'en est pas un. Ce qui est arrivé à
Pompéi est une leçon que nous n'apprendrons peut-être jamais...

Monday, January 7, 2013

Bari

Today would be a very special day: for the first time, Simone's father-in-law would be taking his children (and grandchildren) to visit the city where he came from. The drive fr
om Sant'Agata to Bari would take over three hours each way, provided nobody got lost, but, filled with a sense of adventure, the group of 13, using two cars, went from one coast in Italy to the other. The scenery was breathtaking, filled with golden hues and splashes of green against a crystal blue sky. Given that the temperature, the BASE temperature, reached 40 Celsius that day, Simone blessed the air conditioning for working so well and amused herself by watching the natives putter around on their scooters. By and large, nobody used helmets; it was not unusual for a family of four to travel on one scooter (still no helmets); some riders wore flip flops, including the driver; nobody wore pants, opting instead for shorts and skirts; dogs and cats rode the scooters as well. One notable car driver was seen moving her standard vehicle out of a parking spot with a baby on her lap and a cigarette in her mouth and NO seatbelt. In spite of these (by North American standards) hazardous rules of the road, the group made it to Bari, father-in-law's hometown, without any mishaps. They drove through the city, searching for a restaurant, finally settling for a waterfront location that overcharged but did provide a stunning view of the sea. In fact, several party members climbed the rocks outside the restaurant in order to dip their feet in the lukewarm salt water. The group then headed to the very part of town where Simone's father in law was born. They saw the house where his mother died when he was just a toddler, the monastery that his father put him into (obviously to no avail) and met some of his family members. Before attempting the trek back to San'Agata, the group purchased a series of fans that would serve a dual purpose: they would make the still night air in their villa circulate AND, with any luck, drown out the sound of baying dogs.